Aller au contenu
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE BRAZZAVILLE
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE BRAZZAVILLE
LE CHU-B
Historique
Organisation et gouvernance
Plateau technique
Engagement de qualités
ACTUALITES
Actualités du CHU-B
Communiqués
COVID-19
Publications
MISSIONS
Formation
Recherche
Offres de soins
Services
GUIDE DU PATIENT
Arrivée au CHU-B
Au quotidien
Votre séjour
Votre sortie
GALLÉRIE
CONTACT
Menu
LE CHU-B
Historique
Organisation et gouvernance
Plateau technique
Engagement de qualités
ACTUALITES
Actualités du CHU-B
Communiqués
COVID-19
Publications
MISSIONS
Formation
Recherche
Offres de soins
Services
GUIDE DU PATIENT
Arrivée au CHU-B
Au quotidien
Votre séjour
Votre sortie
GALLÉRIE
CONTACT
CHU de Brazzaville : la Ministre de la Santé touche du doigt de la réalité du service de psychiatrie
La Ministre de la santé et de la population, Madame Jacqueline Lydia MIKOLO, a effectué le 24 janvier 2017 une visite au service de psychiatrie du Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville (CHU). Ce service est l’unique centre du genre au Congo qui prend en charge les personnes présentant des troubles mentaux du pays. Depuis plus de 15 ans, ce service n’a jamais reçu la visite officielle d’un membre du gouvernement. Madame la Ministre de la santé et de la population vient donc changer la donne.
« C’est un service très important parce qu’il prend en charge tous les malades ayant des problèmes psychiatriques de notre pays, c’est le seul qui existe actuellement. Vu son importance, c’est un devoir de passer voir dans quelles conditions le personnel travaille, les malades sont reçus; la capacité d’accueil afin de réfléchir aux moyens d’améliorer ces conditions ; de discuter avec l’équipe soignante, pour en connaître les préoccupations », a expliqué Madame Jacqueline Lydia MIKOLO.
La structure dispose de 27 lits au lieu de 50 comme prévu. D’après le professeur agrégé Alain Maxime MOUANGA, chef de service de psychiatrie, les conditions d’accueil sont en voie d’amélioration. Car le centre est parti d’une situation initiale préoccupante caractérisée, entre autres, par le fait que les conditions d’hygiène n’étaient pas réunies, les soins n’étaient pas administrés en respectant une approche compatible avec la dignité de la personne humaine.« Ce que vous avez vu aujourd’hui est le fruit d’une évolution qui va vers l’amélioration de la qualité des services. En termes d’hospitalisation, nous devons dire que la capacité de notre centre est de 50 lits, mais depuis les évènements que nous avons connus, actuellement 27 lits fonctionnels », a expliqué l’un des huit professeurs agrégés récemment promus par le Cames, Alain Maxime MOUANGA.
A en croire la Ministre de la Santé et de la Population, le Gouvernement trouvera des solutions pour résorber les difficultés constatées.« Vous voyez les malades mentaux errants que nous avons dans les villes et villages du Congo, il faut qu’on arrive à trouver une solution à ce fléau et la solution part d’ici. Le constat est que nous avons du travail, nous avons du pain sur la planche, nous avons un grand départ mais il faut continuer à aller dans le sens de l’amélioration et de l’atteinte de toute la population congolaise », a-t-elle déclaré. Madame Jacqueline Lydia MIKOLO a fait un don d’équipement de travail, de vivres et d’habits pour la prise en charge des malades. La directrice générale du CHU, Madame Gisèle AMBIERO, a réceptionné un kit de manière symbolique, puis transmis au chef de service.